jeudi 19 avril 2012

Réseaux sociaux


                Comme vous l’avez surement remarqué le commenteux a moins écrit ces derniers temps et cela risque de se reproduire. J’ai parti ce blogue pour pouvoir simplement décrire ma pensée sur un sujet complet et j’entends continuer de le faire. Cependant, je serai de retour au travail à partir du 30 avril et je risque d’avoir moins de temps pour écrire et, surtout, pour me renseigner sur les sujets marquants. J’aurais donc moins de temps pour penser sur ces mêmes sujets. Aujourd’hui, je vais vous parler des réseaux sociaux. Dans un premier temps, je vous indiquerai ceux dont je fais partie et l’ordre que je les préfère. Ensuite, j’essayerai de vous donner les bons et mauvais côtés de ces réseaux sociaux.

                Mon réseau social préféré est Google+. Je suis un amateur de photographie et j’ai pu suivre et communiquer avec plusieurs photographes sur ce réseau. J’ai appris plusieurs choses sur ce sujet. Ce n’est pas tout ce que je suis sur Google+ mais c’est le sujet qui m’a amené à ce réseau et dont le réseautage semble très fait. En deuxième position mais par peu est Twitter. C’est simple, tu as des nouvelles en continu et les commentaires sont courts alors tu te fais rapidement une idée si c’est intéressant ou non. Ensuite, il y a Facebook. Je n’ai pas d’ « amis » qui ne sont pas des connaissances d’une façon ou d’une autre. Cela ne veut pas dire que je ne suis pas abonnés à d’autre mais c’est un endroit un peu plus « privé ». La quatrième place est occupée par Linkedin. C’est simplement un réseau professionnel pour moi. Finalement, le plus récent et, selon mes goûts, le moins intéressant est Pinterest. C’est des images avec un commentaire et, malgré mon intérêt pour les images, je trouve les commentaires moins intéressants.

                Les réseaux sociaux me permettent d’entrer et de rester en contact avec des gens que je respecte. Cela m’a permis de retrouver des copains que j’avais perdus de vue et j’espère aussi en retrouver d’autres. Parfois, le souvenir d’une personne me revient et je tente de la retrouver sur ces réseaux et, quand je finis par retrouver quelqu’un, cela me fait toujours plaisir. En plus, les moteurs de recherche sont intéressants pour trouver de l’information mais quoi de mieux que de l’information suggérée ou approuvée par des gens en qui vous avez confiance. Finalement, ils y a les nouvelles qui apparaissent rapidement sur les réseaux sociaux avant, souvent, les médias traditionnels.

                Parlant de nouvelles et d’information, le côté négatif est qu’il faut très fréquemment validé ce que nous voyons sur les réseaux sociaux. Un autre problème est le dérapage. Deux exemples quand même assez récents sont les menaces faites à Gabriel Dubois-Nadeau ou le suicide de la jeune Marjorie Raymond. Je ne dis pas que nous ne pouvons pas être corrosif mais les attaques personnels et les menaces ne devraient jamais faire partie des discussions des réseaux sociaux. Le dernier danger est que les réseaux sociaux deviennent un besoin. Il n’y a rien de mieux que de voir les gens dans la vraie vie plutôt que dans la réalité virtuelle.

lundi 2 avril 2012

Bonne Fête au Club des Ex


                J’étais pour écrire sur un autre sujet mais, en apprenant le 5e anniversaire du Club des Ex, j’ai décidé de vous expliquer de cette émission et pourquoi elle me plaît tant. Cette émission par de politique ou apporte une vision politique sur différents sujets. L’animateur est Simon Durivage et, tous les jours, Marie Grégoire, Liza Frulla et Jean-Pierre Charbonneau participent à l’émission. Les trois sont d’anciens débutés pour trois différents partis politiques avec leur idéologie diverse.  Je suis la politique d’assez près car je crois que celle-ci touche tout et surtout notre vie quotidienne.

                J’ai beaucoup de difficultés à écouter la majorité des politiciens car ils doivent suivre la ligne de parti et leurs discours s’en ressentent énormément. Tandis que ces personnes peuvent dire ce qu’elles pensent même si elles sont attachées à des valeurs que certains partis représentent. Assez fréquemment, il y a des discussions très enflammées mais cela se fait dans l’amitié et la bonne humeur. D’autres fois, ils sont d’accord sur le sujet et c’est probablement les moments les moins intéressants de l’émission bien que le spectateur peut apprendre des choses qu’il ne savait pas. D’autres personnes se joignent à eux par moment et, bien qu’elles ne soient pas officiellement actives à temps plein dans un parti politique, ils apportent un autre éclairage sur les thèmes traités.

                Par exemple, cette année, le jeudi, ils ont ajouté le choc des générations où des étudiants universitaires venaient donner leur opinion personnelle sur sujets traités. Cela a apporté un vent de fraîcheur sur l’émission.

                Que je sois d’accord ou non sur les opinions émises, j’apprends toujours des éléments que je ne connaissais sur les sujets qu’ils traitent et je vais continuer de les écouter autant que je vais pouvoir. Le seul problème est d’avoir accès à une télévision du lundi au jeudi entre 12:30 et 13:30 sur RDI. J’ai appris que l’émission revenait cet automne alors je suis heureux. Bon anniversaire et continuez votre bon travail!

vendredi 30 mars 2012

Patrick Roy comme entraîneur et non directeur


                C’est vrai que je ne suis pas un amateur de hockey comme je le suis de football. Je dois avouer que, malgré la très mauvaise performance des Canadiens, c’est probablement l’année où j’ai regardé le plus de hockey à la télévision depuis les années où les Nordiques existaient. J’ai même un cousin qui a joué dans la LNH et je ne regardais pas nécessairement les parties qui étaient présentées à la télévision lorsqu’il jouait. Cela vous donne un peu le genre d’amateur de hockey que je suis mais qui peut passer à côté de la nouvelle de la mise à pied de Pierre Gauthier et Bob Gainey. (Randy Cunneyworth risque de suivre dès la nomination du nouveau directeur gérant.)

                Pour remplacer Pierre Gauthier, plusieurs noms ont été soulevés. Julien BriseBois, Vincent Damphouse, Marc Bergevin ou bien d’autres feraient un excellent directeur général car ils désirent obtenir la position. Je suis sûr que nous pourrions facilement allonger cette liste et l’organisation des Canadiens trouvera la meilleure personne pour le travail.

                Vous avez certainement remarqué que je n’ai pas donné le nom de Patrick Roy. Je pense simplement qui ne serait pas le meilleur choix comme directeur général car il ne veut pas l’emploi. Je ne dis pas qu’il ne serait pas bon dans cette position mais je pense que d’autres seraient meilleurs et, je le réécris, Patrick Roy ne veut être directeur général.

                Par contre, je crois aussi que le nouveau directeur général n’aura presque pas le choix d’engager Patrick Roy comme entraîneur en chef pour remplacer Randy Cunneyworth. Le leadership et l’esprit de gagnant à tout prix que Patrick amènerait avec lui est ce que l’organisation recherche. De tout façon, je ne fais que spéculer car rien de cela n’est pas entre mes mains et seul l’avenir nous dira vraiment ceux qui seront choisi par les Molson et Serge Savard.

jeudi 29 mars 2012

Personnalité artistique


                Je sais que je n’ai pas écrit de texte hier mais cela va m’arriver parce qu’il y a aucun sujet qui m’a accroché dans la journée (comme hier) ou parce que j’ai manqué de temps pour mille et une raisons. Ce matin, j’écoutais une entrevue de Geneviève Rioux aux Lionnes et elle a parlé d’un documentaire qu’elle a fait sur la création versus la procréation. Je comprends que c’est un sujet plutôt féminin mais, dans tout homme, il y a côté plus féminin. C’est peut-être de là que vient mon côté créateur.

                Malgré tous les emplois que j’ai eus dans ma vie, ceux où il fallait improviser ont été ceux que j’ai eu le plus de plaisirs à faire. D’une autre côté, dans ma vie personnelle, j’ai toujours écrit et fait de la photographie et cela m’a permis de laisser ma côté artistique. Je n’ai aucun talent musicaux et je suis une comédien très moyen alors il me restait les arts un peu plus solitaire.

                J’ai plusieurs textes écrits à gauche et à droite qui pourraient être mis ensemble pour faire un recueil mais c’est un roman que je voudrais faire publier en premier. Je dois avoir le début de deux ou trois possibilités plus une ou deux qui me trottent dans la tête depuis plus de vingt ans. Vous vous demandez comment cela se fait qu’il n’y en a pas au moins de compléter. C’est très simple. Autant que je peux être organisé et discipliné au travail, je suis tout le contraire quand je suis à la maison. À la maison, je remets toujours à plus l’écriture d’un roman pour les mauvaises raisons. Peut-être que le fait que j’ai commencé ce blogue va me permettre de me discipliner un peu plus à ce sujet.

                La photographie est un autre élément artistique de ma vie. J’avais environ huit quand j’ai commencé à prendre des photos et, à part pour deux ou trois ans où je n’avais pas une caméra digne de ce nom, je n’ai jamais arrêté. Maintenant, avec nom téléphone cellulaire, j’ai toujours un appareil sur moi mais, aussitôt que j’ai une chance, je sors ma caméra pour prendre des photos lors d’une réunion de famille ou du paysage qui m’entoure. Je tiens même à jour un site web et un autre blogue sur le sujet. Présentement, je suis en train de numériser tous les photos argentines que j’ai prises et je suis à la recherche d’une meilleure caméra.

                Si j’ajoute tous les livres que je lis, je peux dire que l’art fait partie de ma vie en permanence et, malgré que je ne sois pas officiellement un artiste, mon cœur a toujours un côté artistique. J’espère, un jour, laisser une petite marque dans la littérature et la photographie mais je ne rêve pas d’être le prochain Michel Tremblay ou Henri Cartier-Bresson. Je ne pense pas à être le seul au Québec d’avoir cette personnalité double.

mardi 27 mars 2012

Tablettes


                À la suite d’une nouvelle que j’ai lue, j’ai écrit plus tôt ce matin que je croyais que les tablettes étaient pour remplacer les ordinateurs. Je le pense toujours mais je ne crois pas que ce soit pour demain. Il y a un problème majeur avec cela qui est l’espace nécessaire pour emmagasiner des fichiers. Par exemple, j’ai une bibliothèque d’environ 100 Go de fichiers musicaux et, à ma connaissance, il n’y a pas de tablettes qui peuvent contenir autant de fichiers et cela est sans compter mes photos et mes autres fichiers.

                Présentement, il existe des services qui permettent d’emmagasiner ce volume mais leurs prix ne sont pas accessibles à tout le monde. En plus, il faut l’accès internet nécessaire pour pouvoir envoyer ce genre de nombres de fichiers et cela a aussi un prix.

                Par contre, il existe déjà des applications qui permettent d’accéder les fichiers de votre ordinateur par Wi-Fi alors, à l’intérieur de votre maison, ce n’est pas problème. Je ne sais pas s’il existe des applications qui permettent de le faire sur d’autres appareils qu’un ordinateur mais c’est très probable. Dans une entreprise, il doit donc être un système qui permet l’accès de fichiers sur des serveurs.

                Le jour qui signera la mort des ordinateurs et celui où vous pourrez avoir accès à tous vos fichiers par internet et de façon sécuritaire mais, comme je l’ai écrit au début, ce n’est pas pour demain…

lundi 26 mars 2012

Aveos


                Quand je dis que l’argent mène le monde, la meilleure preuve est ce qui se passe présentement avec la compagnie Aveos. Avec la réglementation de l’industrie aérienne canadienne, la fermeture était prévue depuis longtemps et, si ce n’est pas le cas, je suis prêt à être démenti par Air Canada ou Aveos n’importe quand et il me fera plaisir de me rétracter mais, pour l’instant, je crois que c’est une machination qui a pris naissance il y a déjà un certain temps.

                Premièrement, la façon dont la fermeture s’est faite est inhumaine car, avant de mettre la clé dans la porte, les dirigeants d’Aveos auraient dû prévenir les employés un peu à l’avance.  Dans le cas présent, les employés ont simplement reçu un appel leur disant de ne plus rentrer car la compagnie a fait faillite. Même lorsqu’une compagnie fait faillite, les gens sentent les choses venir et les dirigeants n’ont même pas pris le temps de préparer leurs employés de l’éventualité qui leurs pendait au bout du nez.

                En plus, ceux qui ont pris cette décision ne sont probablement pas à la rue comme les employés et leur famille. Nous parlons de plusieurs milliers personnes qui se retrouvent avec des revenus importants en moins.  C’est encore les mêmes qui vont empocher et les mêmes qui vont en payer le prix et je trouve cela totalement injuste.

                Ce qui me choque encore plus est le fait que le gouvernement fédéral n’intervient d’aucune façon. Ils vont faire une commission parlementaire. J’espère qu’elle est pour hier car, demain, il sera déjà trop tard. Le ministre Léger n’a qu’à faire respecter la loi qui régit Air Canada en l’obligeant à faire l’entretien de ces avions à Montréal, Mississauga et Winnipeg. En plus, Aveos était reconnu comme la meilleur compagnie de son industrie. Je ne sais pas si je vais me sentir en aussi grande sécurité dans un avion d’Air Canada dorénavant.

dimanche 25 mars 2012

Téléréalité


                Aujourd’hui, c’est au tour de la téléréalité et j’ai fait ce choix à cause de la grande finale de Star Académie. Ce n’est pas parce que je n’ai pas vraiment suivi aucune des séries que je vais vous dire que cette émission est mauvaise. Je pense au contraire que c’est une bonne émission qui fait mieux connaître la chanson en mettant une certaine emphase sur le côté francophone.  Il y a d’autres émissions qui sont beaucoup futiles que celle-là et je ne les nommerai pas pour ne pas choquer personne.

                Par contre, dans les émissions de téléréalité, il y a beaucoup de mise en scène. Le réalisateur choisit beaucoup les scènes qu’il désire montrer et cela trompe toujours le spectateur un peu et ne montre pas nécessairement les participants sous leur meilleur jour mais cela fait partie du jeu et c’est ce type d’émissions que je n’aime pas beaucoup.

                Il faut dire que la téléréalité existe depuis longtemps. Tout ce qui est fait en direct est de la téléréalité et, personnellement, j’en écoute de plus en plus. Je ne sais pas si c’est parce que je veux être à la mode ou que je suis de plus en plus un homme de Cro-Magnon mais j’écoute beaucoup plus de sports que je le faisais même s’il y en a certains que je suis toujours incapable de regarder à la télévision. Alors vive la téléréalité!